L'Armée Impériale
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7e Bulletin de l'Armée Impériale : du 7 au 9 décembre 2012

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7e Bulletin de l'Armée Impériale : du 7 au 9 décembre 2012 Empty 7e Bulletin de l'Armée Impériale : du 7 au 9 décembre 2012

Message  François Sauvo Mer 12 Déc - 14:20



Nota bene : les abréviations « VjT » « DjT » ou « ET » ci-dessous désignent respectivement une « victoire de justesse », une « défaite de justesse », ou une « égalité ».
La date de la bataille est suivie de l'abréviation de son site, qui est consultable sur la page suivante :
http://armimpenm.blogspot.fr/2013/02/terrestre-connaitre-ses-cartes-leur-nom.html

Chaque bataille est enregistrée dans les rôles de l'ARMI sous un nom, généralement celui de l'un des ennemis, suivi de sa date (ex. VjT Denatura 10-02-13).
Les deux alliances armées en présence sont présentées ci-dessous en commençant par la victorieuse, en indiquant si elle se tenait au nord ou au sud du site, et généralement de gauche à droite (donc d'ouest en est si l'armée est au sud, le contraire si elle est au nord).
Les statistiques générales des protagonistes, telles qu'elles apparaissent dans l'onglet de « résultats » suivant la bataille, sont fournis en regard des noms des combattants. En cas de page indisponible (bug de Steam), des « ? » remplacent les chiffres.
D'autre part, pour les combattants de l'ARMI (Dupuy de Suffren, Piotr Konovnitsine, Charles Durand-Linois, Galéas alias Sve Rex etc., le logo (aka « tag ») de l'ARMI est omis dans le récit de la bataille, par souci de légéreté.

Enfin, les cartes de NTW, annotées par l'ARMI, avec leur noms de lieux, de voies, de bois, etc. peuvent être consultées à :
http://armimpenm.blogspot.fr/2012/10/terrestre-connaitre-ses-cartes-2-ria-de.html
pour la carte de Ria de Galice,



Rovato, le 11 décembre 2012,

Ce 7e Bulletin commence par une défaite pour Dupuy de Suffren, subie le 7 décembre 2012 en 4v4 (pas d'artillerie, 5 légers max) sur la Crète syrienne.
Deux armées s'affrontaient : la première, au nord, était composée d'ouest en est de [Noobs] DAVOUT (6*, PRU), Bob (6*, PRU), Rycco (5*, FRA) et de BONAPARTE (6*, PRU). La seconde, au sud de la crète, était formée semblablement de Jimmy Jimmy (5*, PRU), Dupuy de Suffren (6*, PRU), [TFM] Flashman (6*, FRA) et Platonov (4*, TUR)

Les premières minutes du combat parurent favorables à Dupuy. Il réussit à repousser les troupes légères que Bob avait poussé au plus près de ses lignes, entre lui et Jimmy Jimmy. Mais tout-à coup, Jimmy Jimmy dont le front était trop étroit, fut débordé par DAVOUT, aussitôt soutenu par Bob. Ce dernier s'engouffra dans la petite palmeraie qui séparait Jimmy de Dupuy.
Comme dans le jeu des dominos, le désordre des lignes de Jimmy Jimmy déstabilisa celle de Dupuy, qui vit venir dans son dos cavaliers et infanterie prussiennes. Il décrocha alors des positions qu'il tenait au centre pour se replier et faire face à la menace la plus urgente, celle venant à présent de sa gauche.
[TFM] Flashman avait vu le danger et envoyé quatre régiments au centre-gauche. Dupuy pensa que ces régiments permettraient de stabiliser le front. Mais bientôt Jimmy Jimmy était débordé, puis anéanti.
Contre toute attente, [TFM] Flashman se recula précipitamment, forçant Dupuy à se reculer à son tour. Une demie-douzaine de fois, Dupuy tenta de former un front, orienté à présent vers l'ouest, essentiellement, où Davout tentait constamment de flanquer la gauche des défenseurs, par le sud. Mais à chaque fois [TFM] Flashman reprenait sa retraite en courant, exposant les hommes de Dupuy, qui subirent ainsi des pertes sans avoir le temps de répliquer dans de bonnes conditions.
Pendant ce temps, Platonov, à droite, résistait bien et parvenait bientôt à progresser. Mais [TFM] Flashman, auquel manquait peut-être les régiments envoyés à gauche, déclinait au centre-droit. Ces quatre unités, décidément, auront aytant été inutiles à l'ouest qu'elles auront manqué au centre. Sans doute [TFM] Flashman aurait-il dû les garder avec lui pour tenter d'épauler Platonov et de vaincre son adversaire direct. Dupuy aurait alors dû gérer sa retraite seul, ce qui lui eût valu moins de pertes et eût donné à son équipe plus de chances.
Au centre droit, Platonov finit par vaincre BONAPARTE mais Rycco, venu à bout de [TFM] Flashman, vint appuyer Bob et Davout en se rabattant, vers le sud. Les troupes de Dupuy et de Platonov finirent par se rejoindre, mais trop tard. Après avoir repoussé quelques unités de Rycco, leurs dix régiments restants furent acculés à un lac sur les bords duquel elles périrent, enveloppées puis cernées du sud, de l'ouest et du nord par l'alliance ennemie, qui scella une victoire rapide dont [Noobs] DAVOUT et Bob furent les artisans majeurs.


Après cette défaite, Dupuy de Suffren retrouva le chemin de la victoire en 3v3 sur le site des Fermes (2 art. maxi).
Son armée faisait partie d'un front qu'il formait avec Sgt. YellowPepper (4*, UK), à l'est, et Gamer Luna (5*, OTT) au centre. Leur était opposée une alliance composée d'est en ouest de The Great Leader (4*, FRA), Chewy62 (5*, UK), Golden Wolf (5*, FRA).
Rapidement, Golden Wolf quitta le champ de bataille, abandonnant ses troupes après avoir essuyé les tirs des deux batteries de fusées de Sgt. Yellow Pepper ainsi que des deux d'obusiers de Dupuy de Suffren.
Dès lors, ce dernier réduisit tranquillement son adversaire direct. Il détruisit ainsi d'abord trois unités aventurées près de ses lignes au sud-ouest, en lisière de forêt, puis un autre régiment français engagé trop avant, dans le défilé qui formait le centre du dispositif du général de l'ARMI. Enfin, il avança les deux tiers de son armée au nord-ouest, où il acheva Golden Wolf.
Au centre, Gamer Luna avait réussi à bloquer l'Anglais Chewy62, puis à lui infliger des pertes. Chewy62 tenta son va-tout en suivant Golden Wolf à l'ouest. Tout ce monde se heurta aux troupes de Dupuy de Suffren, qui les contint et les réduisit, l'une après l'autre.
A l'est, Sgt. Yellow Pepper avait facilement disposé de The Great Leader. Les trois alliés au centre de l'ancienne ligne ennemie, où elles pourchassèrent et anéantirent les quelques rares unités ennemies encore survivantes.


Peu de temps après, Dupuy de Suffren était de retour à la Ria de Galice (3v3, 2 art. max.), aux côtés, d'ouest en est, du même Sgt. YellowPepper (4*, AUT), et de [TNC] LoyalSipahi (5*, UK).
Face à eux se tenaient [ITA] Legio III (4*, UK), [CSA] ASH {HMG} (8*, FRA), et the dead (4*, AUT).
[ITA] Legio III occupa, dès le début de la bataille, le Monte Coron et s'installa résolument sur son versant nord. [CSA] ASH {HMG} tenta de venir à sa hauteur et le soutenir mais fut contenu par [TNC] LoyalSipahi, tandis que Dupuy de Suffren gardait à distance the dead, qui n'osait s'aventurer jusqu'à Barrat, envoyant simplement une unité de cavalerie qui se fit laminer par les régiments laissés par Dupuy au nord de la route de Vilamar, entre Bosque Negrado et Bosque do Castro.
Pendant ce temps, Dupuy de Suffren transférait sa cavalerie, ses trois régiments de la Garde et un de Polonais à droite, ainsi que sa batterie d'obusiers.
[ITA] Legio III se décida à attaquer Sgt. YellowPepper, mais ne le fit pas avec toute sa ligne. Il fut contenu et bientôt battu autour d'O Mogo par Sgt. YellowPepper. Au même moment, la Garde de Dupuy de Suffren arrivait entre Bosque do Ouro et Bosque Coron. Elle gravit alors la colline et, appuyant la cavalerie de Sgt. YellowPepper, élimina les deux régiments montés de Legio III, embusqués dans le Bosque Coron. Puis tous se retournèrent à l'est pour participer, en les flanquant sur leur gauche, à l'anéantissement des quatre régiments d'infanterie britanniques survivants.
Dupuy de Suffren et Sgt. YellowPepper descendirent alors le Monte Coron à côté de San Vicente et encerclèrent les trois unités britanniques survivantes et le centre ennemi. Dupuy prenait en effet position au sud de Xerdiz et de son bois, tandis que, dans le même temps, il lançait ses huit régiments d'infanterie demeurés au nord de Negradas, vers les vallonnements situés entre Barrat et Ferreira, où ils contraignirent the dead à reculer vers le centre.
L'encerclement de [CSA] ASH{HMG, qui se retrouvait à Xerdiz, était désormais complet.
Dans une dernière percée, les Chasseurs de la Garde de [CSA] ASH{HMG, pourtant malmenés, parvinrent à faire taire les obusiers de Dupuy, qui étaient redescendus du Monte Coron pour se positionner en contrebas de la route de Ferrol, sous la ferme de San Vicente.
Peu après, Dupuy réduisait the dead entre Xerdiz et Barrat, et [TNC] LoyalSipahi achevait [CSA] ASH{HMG autour de la ferme-auberge de Xerdiz.


Ce dimanche 9 décembre 2012, Pierre Konovnitsine et Dupuy de Suffren subirent leur première défaite ensemble.
Alliés en 3v3 à Dresde à Ursu1919, ils perdirent contre — d'ouest en est — Sgt. YellowPepper (4*), monsieur de langeron(R+C) (4*) et Capitan (3*) tous Britanniques. Pierre Konovnitsine (5*, FRA) se trouvait au sud-ouest, Dupuy de Suffren (6*, FRA) au centre et Ursu1919 (5*, RUS) à l'est face à Capitan.
Même si Pierre ressentit vivement ce qu'il considéra comme une humiliation et un affront personnel que lui avaient fait ses alliés, ses adversaires et tous les dieux de NTW, cette défaite s'explique plus simplement par des raisons plus objectives.
Car on ne combat pas, à Dresde, comme sur les Prairies Herbeuses : pas de ligne étirées, pas de mouvements amples et de tentatives d'encerclement. Ici, la victoire au centre est nécessaire, mais non suffisante. De plus, pour la remporter, la voie la plus sûre est d'y défendre, puis de ne franchir la rivière qu'une fois la victoire presqu'assurée.
Excessivement optimiste, et prêtant sans doute à son camarade Dupuy de Suffren des qualités d'attaquant que ce dernier ne se reconnaît pas, notamment en milieu urbain, Konovnitsine souhaitait que, face à l'armée de monsieur de langeron(R+C), laissée à la commande de l'IA, Dupuy franchît l'Elbe, repoussât Langeronet que l'ARMI remportât la victoire.
Dupuy de son côté, même si les atermoiements de l'armée offraient la possibilité d'un franchissement facile des ponts, craignit de se voir piégé dans le quartier nord, avec d'un côté Langeron et de l'autre un Capitan qu'aurait pu appuyer, en rescousse, Sgt. Yellow Pepper.

A l'est, de plus et comme pour lui donner raison, les choses tournaient mal pour les Français : Ursu1919 tentait de franchir la rivière, mais se faisait laminer par Capitan, que ses trois étoiles ne situaient certes pas à un tel niveau. Bientôt, il n'y eut plus d'Ursu.
Dupuy avait franchi la rivière et battu l'armée de Langeron, mais en subissant des pertes qui pèseraient dans les derniers moments de la bataille.
Mais à présent le bon Sgt. Yellow Pepper, qu'avait peut-être aussi sous-estimé Pierre Konovnitsine qui ne l'avait jamais affronté, à la différence de Dupuy, bloquait la progression française au nord-ouest. Konovnitsine, dont la cavalerie opérait déjà au nord avec bravoure, mit en branle son armée, partie par le gué de l'ouest, partie par le pont de l'Elbe.
Mais, pendant ce temps, Capitan avançait par l'est, avec une armée encore solide. Celle de Sgt. Yellow Pepper n'avait, elle, subi aucune perte.
Malgré leurs efforts pour s'extirper de la ville par le nord et repousser Capitan à l'est, Dupuyet Konovnitsine perdirent ce combat, et furent, peu à peu, réduits dans la ville et sur les bords de l'Elbe.
Peut-être Dupuy de Suffren, qui ne croyait pas, depuis le début, dans la tactique défendue par Konovnitsine, et dont les faits confirmèrent les appréhensions, hésita-t-il à s'engager plus avant quand il l'aurait pu. Peut-être a-t-il manqué de cette rapidité qui fait gagner les batailles ?
Mais Dresde n'est pas gagnée quand ses ponts sont franchis. Encore faut-il sortir de la ville avec des forces suffisantes pour repousser les ennemis de part et d'autre.Sans doute eût-il fallu que les deux généraux de l'ARMI, pour ce faire, réunissent leurs forces plus tôt.
Quoiqu'il en soit, cette défaite fut riche d'enseignements.

Cette défaite fut suivie d'une victoire, le même jour (3v3, Ria de Galice, max 1 art et 3 légers)
D'ouest en est, on trouvait Dupuy de Suffren (6*, FRA), Pierre Konovnitsine (5*, FRA) et [TEAM?][:PICkP0k:] (5*, FRA), face à Hainzybabes(1*, UK), Thorinator (1*, FRA), et MB GermanGhost (5*, PRU) tous Britanniques.
Cette victoire fut aisée et rapide, [TEAM?][ :PICkP0k:] prenant le Monte Coron sans coup férir et Konovnitsine repoussant, puis anéantissant Thorinator entre Xerdiz et Negradas, où MB GermanGhost résista et livra l'ultime combat.

Dupuy de Suffren retrouva ensuite, à Dresde, deux marins : (d'ouest en est) bwal1886 (4*) et Bret (4*), tous trois jouant sous pavillon impérial français. Ils combattirent Optimus Prime (4*), Duke of Downs (4*), et Comte de la Verte(4*) tous Prussiens.
Ce furent les marins qui l'emportèrent, à leur grand étonnement.
Les « terriens », qui occupaient la rive nord, passèrent à l'offensive assez vite au centre, mais aussi à l'ouest. Au centre, Dupuy de Suffren n'eut guère de mal à contenir les assauts de Duke of Downs, neutralisés l'un après l'autre.
A la moitié du combat, il ordonna à sa cavalerie d'aider bwal1886, qui combattait farouchement, sur son aile, contre Optimus Prime qui avait franchi l'Elbe. Cette intervention élimina un régiment et permit à bwal1886 de rétablir l'équilibre dans cette zone charnière entre la gauche et le centre, et de réduire ensuite Optimus.
A droite, Bret avait, par contre, été moins heureux : il avait été réduit, presque totalement, par Comte de la Verte de part et d'autre de la rivière.
A présent, quand Dupuy commença à franchir l'Elbe par les deux ponts de la ville, Bret n'avait plus que deux régiments et bwal1886 une armée réduite au tiers.
Le combat qui s'ensuivit fut farouche. Comte de la Verte et Dupuy avaient encore leur artillerie, qui continua ainsi, de part et d'autre, de causer des dommages aux premières lignes. Comte de la Verte, qui occupait le centre de la ville nord, recula pied à pied, infligeant, dans ce réseau urbain serré, des pertes aux cotnre-attaquants. Repoussé à l'orée orientale de la ville, au pied de la dernière rangée de maisons, il s'inclina finalement, avec les honneurs.

Dupuy de Suffren se transporta aussitôt en Moravie où, à Austerlitz, réunis d'est en ouest, sur le plateau de Pratzen à aaabaleze (4*) et Napoleon le Grand (4*) (tous combattant pour la France), ils furent défaits par une alliance composée de Bat (5*), (UFTW) zed_ced (4*) et fabien13008 (4*), tous également Français combattant sous pavillon russe.

A part Dupuy, qui n'alignait qu'une batterie, chaque combattant avait appporté au moins deux batteries, voire quatre pour les deux autres Français et zed_ced.
Dès le début du combat, les Russes bombardèrent, grâce à leurs licornes, le plateau depuis le village, au-delà des étangs gelés. Les français se reculèrent sur le flanc nord du sommet du plateau.
Puis Bat et fabien 13008 se mirent en mouvement sur chacune des ailes, chacun avançant avec son artillerie, obligeant les défenseurs à reculer d'autant leurs troupes.
Le premier contact fut porté par fabien13008, qui malmena Napoleon le Grand au pied de la crète située à l'ouest de la hauteur principale. La menace incita Dupuy à y transférer toute sa carte, une Légion Polonaise, ses voltigeurs et ses cavaliers.
Bientôt, c'était toute l'armée de fabien13008 (4*) qui attaquait. Le combat fut acharné et Dupuy put éprouver combien sont difficiles les déplacements dans la neige. Enfin, fabien13008 (4*) fut éliminé.
Mais au même moment, (UFTW) zed_ced parvenait sur la colline depuis le centre. Les troupes qui avaient vaincu à l'ouest durent s'y porter aussitôt et s'opposer à ces deux vagues d'attaque.
Les Français étaient affaiblis. Aabaleze, qui avait contenu Bat jusqu'alors, dut baisser pavillon. La supériorité numérique de Bat, joint au manque de munitions des trois Vieilles Gardes de Napoleon, fit le reste, et les Russes remportèrent, de très peu, la victoire.
Si les Français avaient remplacé une batterie d'artillerie par un régiment de ligne, ils remportaient la victoire.

Un autre défaite "de justesse" suivit pour Dupuy de Suffren, à Salamanque. Mais ce fut une victoire pour notre autre général de l'ARMI, Robbin !
Car les formations étaient composées, d'ouest en est, de : The sammich man (3*, UK), IIII Admiral Otto von Schrader (4*, DAN) et Dupuy de Suffren (6*, FRA), au sud et, au nord, de Gardegrenadier, 91. Luftlande-Div. et ROBBIN tous 5 * et Autrichiens.
Les trois combattants allemands, sous drapeau autrichien, remportèrent une victoire logique.
Car pour le camp de Dupuy de Suffren, la bataille avait débuté sous des signes négatifs : The sammich manavançait seul contre Gardegrenadier confortablement installé sur la colline du nord, tandis que Von Schrader affichait un optimisme inversement proportionnel à son expérience sur terre.
Tandis que Dupuy transférait son armée à l'ouest pour épauler Sammich, réduisant en passant trois régiments montés de Robbin qui tentaient de défaire l'artillerie de Von Schrader, Gardegrenadierrésistait, et 91. Luftlande-Div. accrochait Von Schrader entre ville et colline. De son côté, Robbin descendait tranquillement de sa colline nord, gagnait la colline sud pour entamer une manœuvre de contournement dont le succès dépendrait du sort des armes à l'ouest et au centre.
A l'ouest, précisément, malgré une intervention de la cavalerie de Dupuy qui repoussa la contre-attaque de Gardegrenadier en bord de champ de bataille et l'obligea à se replier sur ses positions initiales, The sammich man ne parvenait pas à gagner du terrain au centre de son dispositif. Malgré des succès isolés à gauche, sur le versant occidental de cette colline nord, Gardegrenadier tint bon. De plus, Von Schrader, qui s'était engouffré au centre pour appuyer le Britannique, s'y était retrouvé englué et contourné par 91. Luftlande-Div. qui, peu à peu, lui infligeait de lourdes pertes.
Quand la dernière phase du combat débuta, Dupuy rapatriait en urgence ses deux légions polonaises et deux régiments de cavalerie, affaiblis, sur la colline du sud-ouest tandis que Sammich refluait en difficulté. Von Schrader venait d'être rayé de la carte. 91. Luftlande-Div. avançait vers l'ouest, depuis la ville, entre les deux collines, tandis que Robbin arrivait de l'est.
Le dernier combat fut livré sur la colline du sud-ouest, et fut acharné. Même s'il infligea des pertes réelles aux assaillants, qui perdirent une demie-douzaine de régiments, les Autricheins refermèrent inexorablement leur tenaille et Dupuy de Suffren dut remettre son épée à son camarade de l'ARMI, mieux entouré en la circonstance.

Suivirent ensuite, pour fermer ce 7e Bulletin, trois victoires.

Robbin et Dupuy de Suffren remportèrnt d'abord, avec 91. Luftlande-Div. une nouvelle victoire de justesse à la Ria de Galice (3v3, 1 art-3 légers max).
Les forces en présence étaient celles de : ROBBIN (5*), 91. Luftlande-Div. (5*) et Dupuy de Suffren (6*) tous Français et disposés d'ouest en est et au nord du site ; ZaLeSiO[TM] (4*, FRA), challenger (3*, AUT), IA (1*, TUR), toujours depuis le Rio do Ouro vers l'est.
Dupuy de Suffren eut la bataille facilitée par deux choses : d'abord le fait que son opposant soit une IA, choisi volontairement par les adversaires de l'ARMI ; ensuite que cet IA fasse le choix de venir soutenir son centre plutôt que de venir au contact entre Ferreira et Barrat ou sur la route de Vilamar. Il put ainsi porter plusieurs unités à droite en appui de Robbin, ne laissant sur son aile que cinq unités, qui, avec l'aide de 91. Luftlande-Div., répondirent victorieusement aux velléités ottomanes que manifestèrent deux régiments d'Azzars.
Le combat le plus intense eut lieu autour d'O Mogo, qui concentra les attaques de ZaLeSiO, puis de challenger et du Turc, qui furent contenues et repoussées pr le double rideau défensif de robbin et Dupuy, qu'aida de surcroît 91. Luftlande-Div., dont des régiments étaient embusqués dans le Bosque do Recuncho.
ZaLeSiO s'épuisa ainsi, et l'ARMI put investir la collline et réduire les dernières unités turques qui se présentaient autour de San Vicente. De son côté, 91. Luftlande-Div. chassa l'Autrichien du champ de bataille.

Les deux dernières batailles de ce Bulletin furent livrées par Pierre Konovnitsine et Dupuy de Suffren.

Les deux généraux de l'ARMI vainquirent d'abord à Waterloo, contre .GxRogue et ButterFlyDeath (tous deux Britanniques).
Après avoir affaibli les troupes légères anglaises situés sur la route de Nivelle, sur le surplomb à l'ouest de la ferme d'Hougoumont, Konovnitsine et Dupuy de Suffren, qui avait porté ses trupes vers la route, commencèrent à bombarder la ferme.
Avisant que ButterFlyDeath quittait les hauteurs pour descendre se positionner à l'est de la route du Mont Saint Jean, Dupuy réintégra ses positions initiales pour tenter de contre-flanquer le britannique. Pendant ce mouvement, il neutralisa l'attaque de la cavalerie britannique, qui fut exterminée par les carrés de l'ARMI . Peu à peu, malgré des mouvements et positionnements approximatifs, les Anglais furent battus et repoussés, et Dupuy, qui venait de perdre son artillerie à cheval mené par GxRogue sur la route de Nivelle, envoya sept régiments qui, en courant, s'emparèrent de la hauteur proche de la ferme de Papelotte et contrôlant les routes descendant au Mont Saint Jean.
Presque dans le même mouvement, alors que Konovnitsine avait anéanti la contre-attaque anglaise et repoussé les Rouges qui se repliaient sur Hougoumont et ses environs immédiats, ces sept régiments, appuyés par deux régiments de cavalerie de Konovnitsine, se positionnèrent sur l'arrière de l'ennemi, le long de la route qui court du sud-est au nord-ouest, de Smouhen à Braine l'Alleud.
Les cavaliers réduisirent une première unité d'artillerie, et les Anglais se replièrent sur la crète, dos à Hougoumont. Les sept régiments, dont trois de la Garde, trois Polonais et un de Suisses, se déployèrent et s'attaquèrent à cette ligne, débutant par les régiments alignés les plus à l'ouest.
Dans un second temps, ils réduisirent, depuis la crète, les deux carrés de Garde à pied qui se tenaient entre la ferme d'Hougoumont et la hauteur.
GxRogue avait 500 hommes, soit sept régiments, non complets, dans la ferme. Dupuy commença à les soumettre à son feu, bientôt rejoint par les fantassins de son allié. L'ARMI permit deux unités, déjà affaiblies, de Polonais et de Jeune Garde, mais nettoya complètement la ferme, avant même de pouvoir l'investir.

Enfin, pour se délasser, Pierre Konovnitsine, Dupuy de Suffren (tous deux FRA), alliés à RemainingPanic4 (4*, PRU), combattirent trois ordinateurs de niveau "expert".
En fait, ce combat d'entraînement fut plus difficile que prévu. Il permit d'abord, en effet, de constater que RemainingPanic4, qui prétendait être « bon », ne l'était guère, car il ne parvint pas à remplir l'objectif basique initial qui consistait à s'emparer et tenir la hauteur qui lui faisait face à l'est de la carte. De plus, il fut bloqué par l'ennemi prussien qui se permit d'envoyer un bon tiers de son armée à la rescousse du centre et de l'aile droite IA, malmenés.
Car Dupuy de Suffren avait proposé de tenter une manœuvre audacieuse : s'introduire entre les armées autrichienne (au nord-ouest) et britanique (au nord et au centre) pour prendre cette dernière à revers.
Le mouvement réussit et un tiers de l'armée anglaise fut ainsi tournée, enveloppée et anéantie. Mais Dupuy dut se parer, dans son dos, de l'attaque autrichienne. Le combat fut farouche et Dupuy de Suffren y perdit presque toute son armée, tandis que Kononvnitsine tenait la butte du centre, y réduisant le Britannique lors de ses assauts répétés.
La fin de ce combat farouche et agréable fut livrée autour de cette butte, et chacune des unités survivantes de Dupuy ou de Konovnitsine réussit des prouesses. Les quatre unités survivantes de Pierre Konovnitsine durent leur survie à l'arrivée de la Vieille Garde de Dupuy, jusqu'alors casernée dans une ferme, et aux six régiments frais, même s'ils comptaient trois de la Milice, de RemainingPanic4 qui avait quitté le champ de bataille à la mi-combat, laissant ses hommes livrés à eux-mêmes.



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